Flood - pourle tout et n'importe quoi

Bah souvent je suis chez mon chéri à ce moment du week end, donc je ne poste pas plus (contrairement au mercredi)

Conteuse a écrit:

NB : on a tous veilli, cela dit, depuis le début de la semaine :p

Toi peut être, mais moi je reste jeune en toutes circonstances

Bon anniversaire Wiloria avec 2 jours de retard. Mais bon, comme on dit chez moi ; Vieux Motard que jamais!

(Si sinon pluzun avec le dernier message de Melkan)

10h30 : j'ai déjà faim, alors que j'ai pris un petit déjeuner copieux. C'est dur.

Morphale

Hier, j'ai fait une découverte révolutionnaire!
J'ai découvert que les machines ont une vie psychique, et même une religion!

Je dédie cette avancée incroyable à mon lecteur DVD, sans qui rien n'aurait été possible.

Car figurez-vous qu'hier, je me suis enfin décidée à nettoyer mon lecteur DVD -faut dire qu'il n'arrêtait pas de bugger en plein milieu des films- alors je met le disque nettoyant dans le lecteur et je lance. Il faut croire que mon lecteur n'aime pas beaucoup le ménage, il s'est arrêté en plein milieu du programme, et plus possible de le redémarrer pour éjecter le disque.

Après plusieurs heures d'énervement, on décide de remballer le lecteur dans son carton et d'aller le faire réparer. A peine je l'ai débranché qu'il me recrache le disque!

Nan, vraiment, si c'est pas faire preuve de mauvaise foi...

Alaïs Cazenove a écrit:

Hier, j'ai fait une découverte révolutionnaire!
J'ai découvert que les machines ont une vie psychique, et même une religion!

Je dédie cette avancée incroyable à mon lecteur DVD, sans qui rien n'aurait été possible.

Car figurez-vous qu'hier, je me suis enfin décidée à nettoyer mon lecteur DVD -faut dire qu'il n'arrêtait pas de bugger en plein milieu des films- alors je met le disque nettoyant dans le lecteur et je lance. Il faut croire que mon lecteur n'aime pas beaucoup le ménage, il s'est arrêté en plein milieu du programme, et plus possible de le redémarrer pour éjecter le disque.

Après plusieurs heures d'énervement, on décide de remballer le lecteur dans son carton et d'aller le faire réparer. A peine je l'ai débranché qu'il me recrache le disque!

Nan, vraiment, si c'est pas faire preuve de mauvaise foi...

Si ca peut te rassurer, dis toi que Murphy doit t'apprécier, lui, a défaut de ton lecteur DVD.

les voies de l'informatique (et de l'électronique) sont impénétrables........

Estebàn Merillin a écrit:

les voies de l'informatique (et de l'électronique) sont impénétrables........

Un peu comme celles de certaines femmes :p

rhooooo, sale
mais vrai

Au secours

J'ai même pas ris, c'est dire que j'ai le moral dans la moquette, ce soir....

Rho mais qu'est-ce qui t'arrive ?

*fait un calin*

Double post mais j'ai tous les droits :

CHAT !

Miaaouuuu.

allé, viendez les gens!

Allé, nosu boudez pas, on vous a vus. Alaiz, wiloria, viendez! :p

Je suis passé en coup de vent ! J'avais même pas vu que vous étiez sur le Chat. Désolé !

Je vais mieux (je me suis un peu calmée, et j'ai posé les choses au clair).

Bref, une histoire de fille: mon amie me fait la gueule depuis deux-trois mois sans trop oser venir m'en parler, et du coup m'isole petit à petit du groupe (on est 7-8 amis) -elle s'en rend pas compte, mais c'est un vrai centre de gravité: son attitude envers quelqu'un déteint sur les autres.

Au début, j'avais eu droit comme seule explication à : J'arrive pas à comprendre comment tu travailles ( comprenez: t'es trop intelligente pour moi, et ça m'énerve). Du coup, j'avais fait des efforts: arrêter de lui montrer ses erreurs, arrêter de parler de mes notes, arrêté de dire que c'est pas avec la façon qu'ils ont de travailler qu'ils vont être efficace etc, etc...

Au bout de long mois d'efforts, je constate que son attitude envers moi est de pire en pire. Je vais la voir, je demande quel est le problème, et elle m'avoue que vis à vis de moi, elle se sent neutre, indifférente. (Je tiens à préciser qu'on avait monté un projet de colloc' ensemble, que je l'invitais à diner tous les mercredis, qu'on allait à l'opéra ensemble, etc, etc)

Je le prend super mal (et je trouve qu'il y a de quoi) je passe deux jours à déprimer, à pleurer et à réfléchir, et puis ce matin, je suis allée poser les choses.

Bilan des courses, c'est:
1- je ne veux plus te voir, je pardonne une fois quand on me fait mal, pas deux.
2- quand tu me trouveras moins chiante, essaye même pas de t'approcher
3- ton complexe d'infériorité, c'est toi qui te prend la tête avec toi-même. Moi j'ai fais les efforts que j'ai pu de mon côté, c'est à toi de faire le reste. Aujourd'hui, c'est par rapport à moi, la prochaine fois, ce sera qui? Ton mec? (parce qu'il est quand même beaucoup plus intelligent que toi).
4- les autres, ils viennent me parler ou ils viennent pas, ils font comme ils veulent.

Désolée pour la réponse tardive, le week end a été quelque peu chargé ^^

Mais, pour te répondre, mieux vaut que cela arrive maintenant qu'une fois en coloc, où ça aurait posé d'autres problèmes. L'année est presque finie, et tu aurais de toutes manières remarqué qu'une fin de cycle fait la différence entre les vrais amis et les autres. Quand tu déménages, quand tu quittes le lycée, puis la fac, quand tu changes de boulot, etc., des gens que tu côtoyais chaque jour disparaissent peu à peu - voire du jour au lendemain parfois - de la circulation, révélant la fragilité de liens que seules les circontances avaient noués. C'est aussi ce qui te fait apprécier plus chèrement encore ceux qui restent malgré l'éloignement des chemins que nous arpentons.

Pour ton amie, visiblement, tu ne perds pas "grand chose" - si tu me permets d'exprimer ce sentiment. Une personne si centrée sur elle-même manque quelque peu de maturité. Qui sait si tu ne la recroiseras pas dans de meilleures circonstances plus tard ? Quant aux autres, ils manquent, eux, de caractère. Même si ça doit te faire chier, au moins tu es fixée sur leur "amitié", et ce n'est pas un mal.

Enfin bon, quoiqu'il en soit, courage pour toi. Ce n'est jamais vraiment agréable de vivre ce genre de choses.

Dès que j'ai moins mal au crâne, promis, je poste...

Je crois qu on a choppé un virus, ou quelque chose, parceque conteuse et moi avons tous deux extrêmement mal au cheveux aujourd'hui...
*va se chercher un dafalgan contre le boucan que font les touches de son clavier*

Soignez-vous bien, c'est vrai que le temps et la bouffe de Nancy laissent à désirer (passe encore pour la quiche)... Pas étonnant que les virus y circulent bien (moi-même, je sens que je vais pas tarder à tomber malade, ça doit être l'intuition féminine).

Mais ne soyons pas triste et réjouissons nous, demain, j'vais aux Imaginales!

C'est gentil de s'inquiéter pour nous mais ce n'est pas vraiment viral... c'est surtout alcoolisé ^^ Et en plus on est en Picardie, mais tu ne pouvais pas le savoir

Pour les imaginales : veinarde Tu nous raconteras ?

Oui Oui Oui!

J'y étais déjà l'an dernier (mon prof venait y parler de son livre, et comme le bouquin en question est vraiment excellent...) et j'y avais passer un vraiment bon moment. Peu-être pourrais)je jouer demain, on sait jamais :]
*emporte ses dés*

Hum....Fete des mères, ou imaginales? Fete des mères ou imaginales? :p

Je me tate du coup xD

Comme promis, je raconte mon passage aux Imaginales, festival littéraire de fantasy, où joie et bonne humeur sont aux rendez-vous.

J'suis arrivée sur le coup de 14h, alors je suis allée au café littéraire sur: les mauvais garçons de la fantasy.
C'était très intéressant, ça parlait bien sur du charisme des héros pas forcément bon (selon le titre: ils fument, il boivent, et plus si affinité), de l'influence de leur environnement sur ça, et de leur envie/possibilité de rédemption.

Perso, j'ai beaucoup apprécié. Surtout parce que ça m'a donné des idées pour 'évolution de mon perso à Star Wars, qui peut très vite vaciller et tomber dans le "mauvais", mais tellement plus amusant, côté de la vie. (C'est une grande joueuse, l'aventure l'amuse beaucoup, et plus c'est dangereux, plus c'est fun, et mieux c'est).Vala vala.

Je voulais rencontrer Pierre Pellot, parce qu'on m'avait fait lire un de ses bouquins (Méchamment Dimanche) et que j'avais beaucoup aimé. Seulement, en quittant lecafé littéraire, j'ai appris que lui venait d'en commencer un autre, et (je suis allée voire) c'était assez chiant. Raconter sa vie dans un bouquin, ou essayer de la transcrire, c'est une chose, en parler c'en est une autre.

Un peu déçu, je m'assoie dans l'herbe et réfléchis à mon concept de personnage.

Sur le coup de 16h, je me dis que la conférence doit se finir et je vais jeter un coup d'oeil qui confirme mon intuition. Je voulais alors retourner à la bulle du livre, histoire de pouvoir parler avec lui, acheter un ou deux livres et les faire dédicacer.

Mais, oh grand malheur (qui ne l'est pas tant) j'apperçois dans le chapiteau des jeux, une table de JDR qui semble commencer (y'en avait qu'une! UNE SEULE table!). Je m'approche, plus ou moins discrètement, et voyant que j'observe avec intérêt, le MJ m'invite gracieusement (une fille à table, ça fait toujours bien). C'était donc parti pour une partie de Metal Adventure ( temps: 1h30, mais c'est déjà ça).

J'ai donc découvert un nouvel univers, et suis devenu un fier pirate, qui rien n'arrêtera jamais. Sauf peut-être un bon resto ou une jolie pièce de mécanique ancienne....
Dans l'absolu, le scénar était bien, mais pas top. Bien parce qu'il permettait d'avoir un aperçu rapide mais efficace de l'univers, du fonctionnement du jeu, phase "à pied" et phase "vaisseau". J'ai surtout apprécié le système répartition des postes aux membres de l'équipage. Pas top, parce qu'enchaîner combat au sol puis combat spatial, c'est pas trop mon truc, et ça ne permettais pas de faire jouer la psychologie du perso... (et puis comme mes perso sont très souvent des lâches incapables de tenir un fusil par le bon bout...)

Bon, maintenant, les moments ou j'ai bien ris:

La première quand j'ai sorti sept 1 (ça se joue au D6) sur un jet de vigie.
J'ai pointé vers la droite en criant: Cap'tain! Eléphant en vue à bâbord!
(l'équipe manquait quelque peu de Rp, alors il fallait relancer le mouvement)

Deuxième et dernière, c'était quand J-P. Jaworski (mon ancien prof, donc) et venu, avec un air sournois, se glisser derrière le Mj en lui susurrant à l'oreille de mettre le paquet sur moi, et repartir comme il était venu (non sans m'adresser un petit signe et un sourire malin). Alors que j'avais dit que je jouais pas depuis longtemps, et que j'étais pas forcément très bonne, etc etc, j'avais tout de suite l'air pas du tout crédible. Le saligaud. J'étais très très gênée, mais en même temps, voir leur têtes ahuries, c'était trop bon.

Pis j'ai regardé pas mal autour de moi, et pas de Kernt en vue. Tant pis!

Au final, j'ai passé une journée géniale qui m'a remonté le moral vacillant de ces derniers jours ^